Sommet mondial du droit d'auteur les 9 et 10 juin à Whashington
Création et industrie se rencontrent au Sommet mondial du droit d’auteur à Washington, les 9 et 10 juin 2009.
Robin Gibb des Bee Gees, le compositeur Lamont Dozier, les artistes peintres Frank Stella et Hervé Di Rosa, David Drummond de Google, Richard Sarnoff de Bertelsmann, David Renzer de Universal Music Publishing et Gary Shapiro de la Consumer Electronic Association débattront de l’avenir des industries culturelles et du droit d’auteur à l’ère numérique.
"L’économie numérique ne pourrait pas exister sans le travail des créateurs, qu’ils soient compositeurs, réalisateurs, peintres ou photographes" indique Eric Baptiste, Directeur général de la CISAC. "Il est essentiel que l’ensemble des acteurs de l’industrie numérique aux Etats-Unis et dans le monde reconnaissent le rôle et la valeur des œuvres des créateurs. Nous souhaitons accueillir à Washington les auteurs, les grands acteurs de l’industrie et les décideurs politiques pour débattre de scénarios et de solutions adaptées au développement de l’économie numérique, tout en tenant compte des intérêts des utilisateurs, des consommateurs et du secteur culturel".
On a besoin des créateurs. J'espère qu'ils parleront de ma rémunération en tant que formidable clown de comptoir. Les temps forts :
- Scénarii d’avenir pour les industries culturelles
- Droits et attentes des créateurs
- Les industries culturelles, moteurs de la croissance économique mondiale ?
- À qui de droit ?
- Harmonisation et protection du droit d’auteur à l’échelle internationale
- FAI et télécommunication : éléments du problème ou solution ?
- États-Unis - Nouvelle administration. Nouveau Congrès. Nouvel agenda ?
- Les licences européennes multi-territoriales
- L’expansion du droit de suite
- Les bénéfices des métadonnées et de l’information sur le régime des droits (RMI) pour votre business
Petite piqure de rappel pour les personnes qui souhaitent avoir des informations sur le principe de l'économie d'abondance.
Les lois de propriété intellectuelle protègent les expressions et non les oeuvres de l’esprit elles-mêmes.
A l’heure où l’expression et la diffusion des ces oeuvres de l’esprit sous forme numérique ne coûte à peu près plus rien, il est clair que l’attirail juridique en rapport a besoin d’être repensé. Si diffuser une oeuvre ne nécessite plus d’investissement significatif, s’il n’y a plus de prise de risque, a-t-elle encore besoin d’une pareille protection?