Quel avenir pour les sites « low-tech » ?
Geoffrey Dorne ne publiait plus depuis un petit moment ? Voilà qu’il poste à propos de la Low-Tech ? Les grands esprits se rencontrent ? En tout les cas, voilà un bel article que je vous relaie qui fait la liste de différents points sur lesquels il est possible d’agir.
- L’utilité de ce qu’on va mettre sur Internet.
- Héberger son site sur un serveur qui consomme trois fois rien
- Laisser tomber les CMS usine à gaz et les bases de données ultra lourdes
- Ne pas abuser des javascript hyper lourds
- Utiliser moins d’images, et essayer de les compresser le plus possible.
- Minifier son code
- Minimiser le nombre de pages que l’on crée
- Éviter les animations
- Imaginer un site avec une date d’expiration.
- Imaginer que son site a une jauge de poids limitée.
- Utiliser des typographies machine
- Ne pas mettre de trackeurs
- Imaginer et concevoir des sites uniquement en texte, comme certains journaux anciens
Évidemment, je reste un peu sur ma fin, l’écologie d’un site web me semble bien plus large que ça. Et, comme je l’ai déjà dit cela dépend du but du site web.
Dans cette article, on a l’impression qu’un site à faible consommation doit ressembler graphiquement à un site à faible consommation.
Il fait bien entendu éviter de mettre en place des choses inutiles, mais il est aussi possible d’avoir de pages complexes qui ne consomment pas tant d’énergie que ça. La dégradation et le chargement progressif sont des solutions pour ne pas pénaliser les personnes avec des périphériques peu performants tout en ayant des sites complexes.
Néanmoins je loue cette prise de conscience de Geoffrey pour minimiser son empreinte carbone.