Rédaction des données grâce au RDF
Petit à petit la structuration de contenu avec RDF se concrétise, ces derniers temps plusieurs articles sont parus pour nous rappeler le fonctionnement de ce système de classification.
Le Ressource Description Framework (RDF) s'oppose à la logique XML. Ecrire pour le Web nous rappelle les deux différences de gestion des métadonnées avec les 2 grands systèmes de standardisation que sont le Dublin Core et le RDF : Métadonnées et organisation de vos contenus en ligne.
Dublin Core a été créé en 1996. Il permet d’appréhender les métadonnées au sens large, en fonction de 15 éléments de définition d’un document, chacun étant optionnel et pouvant être répété.
RDF comprend trois éléments de base : ressources, propriété et déclaration.
Pour comprendre plus en profondeur le RDF, il est nécessaire de lire le site Les petites cases : XML vs RDF : logique structurelle contre logique des données.
La logique XML est basée sur le modèle de l'arbre ou de l'arborescence, le modèle RDF sur le modèle de graphes.
XML permet d'encoder des portions d'informations selon une logique contextuelle à un ensemble fini.
RDF ne s'intéresse pas à l'encodage d'une structure, mais plutôt à celui de la logique des données.
La logique des données est définie grâce à une ontologie qui décrit : les classes, les propriétés et les contraintes ; c'est-à-dire les relations entre les données déclarées.
A partir de ces définitions, un programme pourra interpréter ces données et faciliter leur classement, leur recherche…